La saga du mois d’août est terminée.
J’espère qu’elle vous a permis d’avancer sur votre projet de devenir assistante indépendante. Merci à celles et ceux qui ont suivi attentivement ces posts et qui les ont partagés ou qui ont réagi.
C’est certain, vous allez avoir des hauts et des bas dans votre motivation. Mais si c’est votre plus grande envie, rien ne pourra vous faire changer de trajectoire.
Eloignez-vous de tous ceux qui vous diront :
« Ah, tu démarres une entreprise, mais vu la situation économique actuelle, tu n’as pas peur ? » Non, même pas peur ! Car de toute façon, il n’y aura jamais de bon moment.
« Ah, assistante indépendante ? Mais ce n’est pas une entreprise alors ! », Si Monsieur (ou Madame), on a un SIRET, on paye des cotisations et des impôts, on a un suivi comptable comme toutes les entreprises.
« Ah, c’est bien, tu vas être chez toi. Tu vas pouvoir t’organiser ». Oui, mais pas pour faire les lessives ou les courses ! Le temps récupéré en transport et en déplacement, je vais m’en servir pour faire un beau mailing !
« Ah assistante indépendante, c’est un nouveau métier ? » Perdu ! L’assistanat est reconnu d’utilité publique par les managers ! L’assistante indépendante a les mêmes qualités et les mêmes fonctions qu’une assistante salariée. Seul changement, elle est entrepreneure. La vision change, mais le métier est identique.
« Tiens, tu devrais faire assistante indépendante ! ». Non ! On ne devient pas assistante indépendante parce que l’on ne sait pas quoi faire d’autre. Il faut une certaine expérience dans un travail salarié pour pouvoir prétendre à s’installer en tant qu’indépendante. Et encore, vous l’avez vu, tout est à apprendre.
Vous l’avez compris, détermination, confiance en soi et surtout PLAISIR… Prenez du plaisir dans votre projet d’installation. Quand on est prêt à démarrer, ce n'est que du bonheur.